À propos

Grâce à ses pouvoirs psychiques, Sibylle peut sauver les vivants, mais que pourra-t-elle face aux morts ? Dans une URSS rongée par la peur et la paranoïa, Sibylle doit passer une ultime épreuve qui la mènera tout droit au redoutable Concile de Pierre...

Peu avant mai 68, à Paris. Sibylle, passionnée de parapsychologie, cherche à développer ses facultés psychologiques en s'inscrivant dans un programme de recherches baptisé «protocole de Zener». À la tête de ce programme se trouve le mystérieux professeur François Bruner, soupçonné d'être à la solde des pays de l'Est. Bientôt, Sibylle se révèle un sujet étonnant, en proie à des visions particulièrement violentes. Conscient de son potentiel, Bruner va amener la jeune femme à ses côtés en URSS. Commence alors une impitoyable lutte qui verra Sibylle se retrouver à la merci de bien étranges individus...

Tokamak est l'ultime épisode de La malédiction de Zener. Nous sommes à l'automne 1971. Avec le professeur Bruner, Sibylle, devenue Irina, s'envole finalement pour la zone TK 15, son enfant dans les bras. Les fugitifs découvrent la Mongolie et les chamans Tsevens arrêtés et torturés par des parapsychologues. En usant de ses charmes, la jeune femme va réussir à convaincre les puissants sorciers de l'initier à leurs secrets, au cours des réunions du Concile de Pierre...


Rayons : Bandes dessinées / Comics / Mangas > Bandes dessinées > Ados / Adultes > Fantastique / Horreur


  • Auteur(s)

    Jean-Christophe Grangé, Philippe Adamov

  • Éditeur

    Glenat

  • Distributeur

    Hachette

  • Date de parution

    28/01/2009

  • EAN

    9782356260406

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    48 Pages

  • Longueur

    32 cm

  • Largeur

    24 cm

  • Épaisseur

    0.8 cm

  • Poids

    560 g

  • Support principal

    Grand format

Jean-Christophe Grangé

Depuis près de vingt ans, l'auteur du Vol des cigognes et des Rivières pourpres règne en maître sur le thriller français. Traduits dans une trentaine de langues, vendus à des millions d'exemplaires dans le monde, tous les romans de Jean-Christophe Grangé ont été adaptés au cinéma ou à la télévision.

Philippe Adamov

1956, je nais ! 3,2 Kg - beau bébé !Je découvre la BD en 1965 dans un petit magasin de soldes de bouquins pendant les vacances. J'y reviendrai chaque année. Je rentre alors dans le monde de Jigé, de Cuvelier et d'Harold Foster. Bref, toute l'ancienne garde ! Après des études très écourtées à l'Ecole Estienne, j'intègre Studios René Laloux à Angers comme stagiaire décorateur. Nous travaillons sur le pilote du film Gandahar dessiné par Caza. Ces 3 années passées là-bas me serviront bien plus tard dans mes nombreuses activités (illustrations, BD, etc.). Je rencontre aussi Moebius qui deviendra pour moi "la" référence. En 1978 je retourne à Paris et je me lance non sans problèmes dans l'illustration de SF. Je travaille pour Opta (éditeur aujourd'hui disparu) entre autres, qui me paie misérablement.Je collabore ensuite au défunt journal de SF "Futur" où je rencontre Gérard Klein, Michel Demuth, les frères Bogdanoff et beaucoup d'autres. Ils me font faire des travaux d'illustrations pour plusieurs éditeurs tels Le Masque, Anthologie de la SF au Livre de Poche, Casterman, R. Laffont, etc.En 1979 je suis contacté par F. Allot pour travailler sur la série Ulysse 31. C'est un travail de création plutôt enrichissant, tant au niveau pécuniaire (enfin!) qu'artistique.Je collabore en 1983 à la création d'une BD avec Xavier Seguin pour le journal "Okapi". Elle ne verra jamais le jour en album (heureusement !) mais elle me permettra de me faire remarquer par Henri Filippini, directeur de collection aux Editions Glénat. Il me présentera un certain Patrick Cothias avec qui je vais collaborer pendant près de 10 ans. Glénat lance le magazine "Vécu" et nous créons Le Vent des Dieux. Un an après suivront Les Eaux de Mortelune, une grande saga de SF. Immédiatement, les deux séries marchent bien, et je commence alors à vivre uniquement de la BD en alternant un album de chaque série pendant presque 8 ans.En 1992 je décide de créer ma propre histoire et avec l'aide de J.C. Camano, directeur éditorial chez Glénat, nous publions Dayak, une trilogie de SF qui se déroule en Afrique. Je rencontre Jean Dufaux en 1999 avec lequel je crée L'Impératrice Rouge, une lutte impitoyable pour le pouvoir dans une Russie post-apocalyptique, où subsistent les vestiges d'un communisme décadent, et où règne un système politique totalement archaïque.

Découvrez une sélection de pages intérieures 1 2 3 4
empty