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Robert Laffont
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Repousser les limites : Sur terre, en mer et jusque dans l'espace
Laurent Ballesta, Jean-Louis Etienne, Luc-Henri Fage, Patrice Franceschi, Philippe Frey, Sabrina Krief, Bertrand Piccard, Sylvain Tesson
- Robert Laffont
- 11 Septembre 2025
- 9782221279441
Et si l'aventure existait encore ?
Dans un monde qui semble déjà totalement cartographié, certains continuent de repousser les limites. Des glaces de l'Antarctique aux sables du désert de Gobi, des jungles impénétrables aux fonds marins, jusqu'aux confins de l'espace, huit explorateurs hors du commun nous embarquent dans leurs expéditions les plus spectaculaires.
À travers leurs récits, ils nous relient à l'essence même de ce qui fait de nous des êtres vivants. C'est dans l'aventure que certains retrouvent le souffle de la liberté, le vertige de l'inconnu, et l'envie de créer du sens là où tout semble figé.
Chaque récit est un voyage autant physique que littéraire, un acte de dépassement de soi, une manière de faire de sa vie une oeuvre en mouvement.
Ouvrage édité sous l'égide de la Société des Explorateurs Français. Préface de son président, Olivier Archambeau. -
La chevauchée des steppes ; 3000 km à cheval à travers l'Asie centrale
Priscilla Telmon, Sylvain Tesson
- Robert Laffont
- L'aventure Continue
- 15 Février 2001
- 9782221093702
Partis du kazakhstan sur les routes de la soie, avec un étalon et deux hongres, priscilla telmon et sylvain tesson, à vingt-trois et vingt-sept ans, ont affronté, durant six mois, trois mille kilomètres de steppes, de montagnes et de désert : vallées arides du tadjikistan, oasis de samarcande et de boukhara, sables rouges d'ouzbékistan, marais de la karakalpakie.
Une cavalcade qui n'est pas de tout repos. il faut échapper aux voleurs de chevaux, faire le gros dos quand un orage vous surprend à quatre mille mètres d'altitude, sortir du marais un cheval qui se noie, passer entre les mailles d'une guérilla islamique, dénicher chaque jour l'alpage ou le fourrage goûteux pour leurs compagnons, et négocier aux frontières avec des fonctionnaires bornés tout droit sortis d'un album d'hergé.
Ils ont de bons guides, heureusement : les récits de grands voyageurs, comme guillaume de rubrouck ou ella maillart - lesquels à leurs époques ont subi les mêmes avanies -, et par chance tous ces peuples cavaliers, descendants des hordes qui derrière gengis khan faisaient trembler la steppe, sont merveilleux d'hospitalité. même s'ils vous gavent de lait fermenté agrémenté de vodka. et même si sous toutes les yourtes de laine et dans toutes les maisons de terre on regrette le bon vieux temps de brejnev.
La bolchevita ! c'est au seuil de l'hiver que la caravane atteint la mer d'aral, pauvre flaque épuisée par les pompages agricoles. et là que " la petite fleur " et " l'homme que l'on pleure quand il part " lèguent, le coeur serré, ouroz, boris et bucéphale, leurs meilleurs compagnons d'aventures.
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« Je contemple l'immensité devant moi et suis saisi par cette pensée : je vais être seul au milieu de ce gigantesque désert pendant les sept prochaines semaines. C'est vertigineux. Ça me prend aux tripes. » Le 24 novembre 2018, Matthieu Tordeur entame un voyage de cinquante et un jours en Antarctique. Hostile, inhabité, le Continent blanc se livrera à lui au prix d'efforts inestimables, accomplis dans la plus grande solitude. Dans ce récit, l'aventurier raconte ses moments d'angoisse et de doute, mais aussi d'étonnement et de grâce. Jusqu'à nous dévoiler quel fut son véritable chemin : du pôle Sud au « pôle intérieur », ou comment, pour survivre, il est devenu « polaire ».
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Qui seront les explorateurs du futur et que signifie encore " explorer " au XXIe siècle ?
Les explorateurs qui partaient à la conquête de terres sauvages, mettant leur vie en péril pour découvrir des territoires inviolés et apporter de nouvelles connaissances, semblent appartenir à une époque révolue. Au XXIe siècle, notre monde paraît avoir été inventorié de fond en comble et tout le savoir être à portée du moindre clic sur Internet. Est-ce pour autant la fin de l'exploration et de l'explorateur ?
Non, car personne ne peut avec certitude déterminer ce que seront les réalités et les sociétés futures et de nouveaux pionniers auront à défricher des voies inconnues. Nous allons devoir changer et nous adapter. Il ne s'agit plus de se demander s'il reste quelque chose à explorer mais de trouver comment nous allons, toutes et tous, devenir des explorateurs de ce monde en mutation. Comment nous allons éviter de reproduire les erreurs du passé pour ne pas conduire notre humanité, mais aussi l'ensemble du vivant, à sa perte. Et comment nous allons explorer demain pour mieux le construire. -
Atlas des territoires éphémères : colonies manquées et bizarreries souveraines de l'histoire de France
Daniel Casanave, Benoist Simmat
- Robert Laffont
- 3 Novembre 2022
- 9782221264683
Quel est le point commun entre la Nouvelle-France floridienne, l'île de Sable, l'Australie-Occidentale française ou la République de Counani au Brésil ?
Leurs noms ne vous diront absolument rien et pourtant ces territoires ont été français !
Parce que si nous connaissons les anciennes colonies de France, telles que la Louisiane ou le Canada, il a en effet existé des dizaines de courts établissements coloniaux que notre mémoire collective a occultés, quand l'histoire officielle ne les a pas tout simplement zappés. Des souverainetés aussi brèves qu'insolites, des bouts de France éphémères dans divers coins du monde...
Cet atlas inédit est l'histoire de leurs échecs, des ratages magnifiques opérés par des personnages toujours hauts en couleur, explorateurs mandatés par Paris ou aventuriers qui s'improvisent conquérants au nom du royaume ou de la République. Il ressuscite leurs aventures tragi-comiques, des débâcles qui exhalent un parfum de romantisme géographique, celui des terrae incognitae par-delà les océans et les civilisations inconnues. -
Une plongée dans la vaste nature sauvage du Bouclier canadien Entre la désillusion d'une vie citadine nord-américaine qui ne laisse aucun répit aux sensibilités et la sensation de refuge qu'offrent les rives laurentiennes et la grande nature nord-côtière, ce recueil de quatre histoires pour quatre saisons raconte la Côte-Nord du Québec vue par un géographe rebelle.
À travers ces aventures, le lecteur découvrira les grands espaces de la région de Manicouagan, la profondeur du fleuve Saint-Laurent devenu mer, une faune et une flore discrètes, mais rassurantes, et un temps qui s'écoule dans le sens contraire à celui des villes. Il s'immiscera tout autant dans les réflexions de l'auteur, partagera les déceptions d'une vie de spectacle, les doutes du déracinement, l'apaisement d'une soirée entre amis autour d'un feu, et l'émerveillement qu'offre une nature sans artifice, inaccessible à celui qui ne veut pas la voir. -
Qu'est-ce qui fait courir les Poussin ? Qu'est-ce qui les fait chaque fois partir et repousser les limites de leur monde ? Dans ce court récit, à la fois pratique et philosophique, personnel et universel, Alexandre Poussin évoque sa vie d'aventurier, de père de famille et sa curiosité insatiable pour notre planète.
C'est au Canada où il a passé son enfance qu'Alexandre Poussin a attrapé le virus des grands espaces. Encore enfant, à la suite d'un grave accident, il a passé une année à Garches, immobile : le voyage intérieur a précédé l'aventure physique. La famille, le sport, le scoutisme, l'ont préparé à ses premières aventures avec Sylvain Tesson, puis avec Sonia. Aujourd'hui, père de famille, il ne conçoit pas de partir sans ses enfants, et c'est aussi avec eux que se fera le prochain grand voyage. Alexandre Poussin est un passionné de la marche, car elle possède à ses yeux des pouvoirs insoupçonnés. La marche permet de partir à la découverte du globe, bien sûr, mais aussi et surtout à la découverte de l'autre et de soi-même. Elle change le rapport que l'on a à ce qui nous entoure, à une époque où la lenteur est devenue un luxe. Elle change le monde car elle permet de consommer moins, de consommer mieux, de voyager utile et de préserver la planète. -
Un homme et ses dix chiens à travers l'Extrême-Nord canadien : une histoire d'amitié, une aventure à la Jack London.
Lorsque Nicolas Vanier a eu l'idée de croiser un laïka sibérien et une chienne groënlandaise, mariage inédit, il n'imaginait pas que l'attelage qui allait naître l'entraînerait cinq ans plus tard dans cette incroyable traversée du Canada. C'est pourtant ce qui s'est passé. Le 13 décembre 1998 Nicolas Vanier est parti, debout sur son traîneau derrière ses dix chiens, pour relier l'océan Pacifique à l'océan Atlantique. Mais cette fois-ci, plus question de marcher pour ouvrir la piste à l'attelage comme lors de ses précédents voyages : c'est une véritable course contre le temps qui s'est engagée, avec l'obligation de franchir cent kilomètres par jour en moyenne. Plusieurs hommes en motoneige se sont donc chargés de damer la neige, quelques jours en avant du traîneau. Une deuxième aventure en soi, et qui n'a pas toujours été plus facile. Voyager en traîneau à chiens n'est pas la jolie glissade qu'on imagine, le vent au visage et les chiens faisant tout le travail. Non, c'est courir à côté du traîneau dans les montées, sauter d'un patin à l'autre pour négocier les virages sans s'écraser sur les arbres, porter les chiens un par un, puis la cargaison puis le traîneau lui-même quand on s'embourbe dans la slutch, cette soupe épaisse et glacée, cachée sous une couche de neige, qui se forme sur les fleuves et piège les voyageurs... C'est aussi, lors des pauses accordées à la meute, les nourrir, vérifier les coussinets de leurs pattes, réparer le traîneau, manger soi-même et finalement voler quelques maigres heures de sommeil, pelotonné contre un des chiens.La traversée nous entraîne jusqu'aux terribles montagnes Rocheuses, que tous avaient prédites infranchissables. Puis, une fois victorieux des montagnes, ce sont des kilomètres arrachés à la neige, mais où l'on sent monter le soutien de tout un peuple, car trappeurs et Indiens, bientôt suivis par les habitants de la région, se sont mis à croire à l'exploit : une formidable chaîne de villages, chacun traçant un bout de piste pour Nicolas, aucun ne voulant que l'aventure s'arrête chez lui...Bien sûr, Nicolas Vanier a connu des accidents, de terribles frayeurs, mais jamais les chiens, objets de tous ses soins, ne lui ont fait défaut. Quels que soient l'intensité du froid, les difficultés du parcours, les rencontres inquiétantes (grizzli et loups), l'envie de courir les animait. C'est cette formidable relation entre l'homme et ses chiens qui fait la grandeur de cette histoire. -
" Je ne connais rien du Kaokoland, encore moins des gens qui y habitent. Je sais seulement que là-haut, dans le désert, vivent des hommes et des femmes peints en rouge des pieds à la tête. Aucune peur, aucune appréhension. Je suis partie pour aller jusqu'au bout. "
Solenn a dix-huit ans quand, en 1993, elle se retrouve seule aux confins de la Namibie. Nourrie des récits d'Isabelle Eberhardt et de Lawrence d'Arabie, elle rêvait d'un voyage en Afrique. Le hasard de la piste l'a menée là, dans un territoire où vit un peuple alors à peine connu, resté à l'écart du monde et de l'Histoire : les Himbas.
Son ignorance et son innocence vont faire un miracle : entre les Himbas et la jeune fille, c'est plus qu'une rencontre ; un coup de foudre. Adoptée par Katjambia, femme himba et futur chef de sa région, elle devient la " Fille qui va avec le vent ". Pieds nus sur la terre rouge raconte six mois de découvertes et d'aventures inoubliables... Les courses folles dans le bush, les cérémonies mystérieuses, les amitiés éternelles, le combat contre un projet de barrage qui menace d'inonder les terres ancestrales.
Publié en 1998, son récit est devenu le livre de référence sur les Himbas. Il est aujourd'hui réédité, accompagné d'une postface dans laquelle Solenn Bardet met en perspective le devenir du peuple rouge. " Quand une culture disparaît, rappelle-t-elle, c'est l'humanité qui s'appauvrit. " -
" Je suis dans un pays où l'adage favori est poco a poco. Notre vivacité, qui dégénère fréquemment en impatience, est appelée la furia francesa ; on n'en tient compte, et rien ne va que le train ordinaire. " Beaumarchais Pour approcher, visiter, comprendre une ville, qu'y a-t-il de mieux que de découvrir ce que les grands auteurs ont pu en dire ? Laissez-vous surprendre par les textes consacrés aux plus belles cités du monde, puisés dans les récits de voyage, correspondances et autres carnets de route des écrivains-voyageurs.
Fière comme doit l'être une ville d'Espagne, Madrid ne compte plus ses trésors et offre au voyageur une halte sereine au coeur de sa traversée du pays. Chaleureuse, tantôt secrète, tantôt animée des plus vives couleurs et des cris de joie qu'on pousse aux ferias, Madrid a plusieurs visages que les écrivains découvrent et commentent avec saveur. Mérimée en critique d'art, Dumas en spectateur attentif de la corrida, Beaumarchais stupéfait par les danses ondulantes du flamenco, ou encore Dembowski qui lève le voile sur le savoir-vivre madrilène... La capitale espagnole nous offre un bel éventail littéraire. -
Madatrek : de Tuléar à Tamatave
Alexandre Poussin, Sonia Poussin
- Robert Laffont
- 24 Novembre 2022
- 9782221265451
Découvrez la suite du fantastique périple de la famille Poussin à Madagascar.
" Une folle épopée placée sous le signe du partage. " Le Figaro Après leur descente épique des hauts plateaux et de la côte ouest, nous retrouvons la famille Poussin aux portes du Grand Sud malgache et de ses déserts redoutés de tous. Ils y découvrent le peuple mahafaly et ses célèbres totems funéraires, les guerriers antandroy, ainsi qu'une nature sauvage et préservée où baobabs, cactus, tortues et lémuriens sont au rendez-vous. À Fort-Dauphin, ils passent d'un seul coup sur l'autre versant du pays, humide et luxuriant, doivent affronter la pluie, la boue, et se frayer un chemin sur la plus longue plage du monde, suspendue entre la fureur de l'océan Indien et le calme du canal des Pangalanes.
À la lumière d'épreuves personnelles, ils donnent une tournure plus solidaire à leur voyage en soutenant de nombreux projets. Enfin, juste avant Tamatave, ils tombent sur la forêt de Vohibola, la dernière forêt primaire de la côte est : un trésor menacé qu'ils se mettent en tête de protéger.
Près de 3 000 kilomètres de marche en famille au compteur, pour une aventure qui est avant tout celle du coeur. -
Le faucon afghan - Un voyage au royaume des talibans
Olivier Weber
- Robert Laffont
- 27 Septembre 2001
- 9782221093139
Olivier Weber a pu passer quatre semaines en Afghanistan: un mois dans ce fief délirant et attachant, un mois dans le pays de l'absurde.
Olivier Weber est un des meilleurs écrivains-voyageurs français. Il est un des rares journalistes européens depuis quatre ans à avoir passé un mois complet en Afghanistan, et à avoir pu sortir de Kaboul. Son expérience de la région, ses liens avec des chefs de tribu, des talibans, des marchands d'armes, des policiers, ont permis ce voyage. Il pratique l'ethnologie "participante": quand il entre dans un groupe, il adopte en tout point la façon d'être de ceux qui le composent.Dans les villes et villages où il a vécu, les personnages clef, les mollahs, les ministres l'ont reçu et se sont entretenus avec lui. Le pays est dirigé vers l'édification du Bien. Les miliciens cravachent dans les rues ceux qui ne vont pas prier à l'heure dite dans les mosquées; les voleurs ont une ou deux mains coupées, en public; les adultères et l'homosexualité sont punis de lapidation: on place les coupables sous un camion-benne rempli de blocs de pierre; la possession d'un lecteur de cassettes est punie de deux paires de gifles, dans le meilleur des cas; le dépassement du couvre-feu mérite une bastonnade... Il est aussi entraîné vers l'édification du Mal: les combines, les trafics, la culture du pavot, les négoces de l'opium, le marché noir des médicaments sont les méthodes les plus courantes grâce auxquelles les talibans vivent sur le peuple.Parallèlement à la vie contemporaine en Afghanistan, des scènes du passé éclairent le présent. Les batailles avec les Anglais, le séjour de Lawrence d'Arabie, les chasses au faucon, les visites aux bouddhas... permettent d'appréhender l'esprit et l'âme de ce peuple. Voilà des siècles que leur histoire se construit autour de leur caractère propre : orgueil et hospitalité, courage invincible et esprit de vengeance. -
Rémi Camus a notamment descendu le Mékong du Tibet au Vietnam, traversé l'Australie en courant, fait le tour des côtes françaises à la nage... Il livre ici un récit sensible de ces défis très différents qu'il s'était lui-même lancés et qu'il a relevés, en explorant six valeurs essentielles qui guident désormais tous ses choix et ses initiatives.
Des paysages, des aventures extraordinaires, mais aussi, avant tout, un homme en quête de sens.
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Patagonia
Jean Delaborde
- Robert Laffont (réédition numérique FeniXX)
- Collection de la Société des explorate
- 18 Septembre 2019
- 9782221243688
A l'extrême sud de l'Amérique du Sud s'étend la Patagonie, puis, de l'autre côté du détroit de Magellan, la Terre de Feu et son ultime sentinelle australe, le cap Horn, au large duquel sombrèrent tant de navires. Le décor n'a pas changé depuis Magellan qui découvrit en 1520 cet univers démesuré, depuis Darwin et Fitzroy qui l'explorèrent en 1830, et l'ambiance y reste en tout point conforme à ce qu'en écrivait Jules Verne dans Les Enfants du capitaine Grant. Darwin, qui n'était pas un émotif, avouait qu'aucune contrée ne lui avait laissé d'impressions aussi fortes que ces solitudes inlassablement déroulées aux extrémités de la terre. Des hommes peuplent cette solitude. Les Indiens, errant à cheval à travers les steppes magellaniques ou en canot sur les eaux fuégiennes, ont presque tous disparu. Leurs derniers survivants sont le reflet tragique d'un monde perdu. Des pionniers sont venus, qui assurent la relève, soumis au vent et à la tempête qui sont les vrais souverains de la Patagonie. Ce sont des hommes rudes, qui croient aux légendes et à l'hospitalité et offrent au visiteur un exemple d'audace, de patience et de courage. La Patagonie, c'est plus qu'un voyage, c'est une initiation. N'y entre pas qui veut, n'y vit pas qui veut, et ne la comprennent que les âmes bien trempées. L'auteur de ce livre, Jean Delaborde, y a consacré sa vie. Patagonia est le premier volume de la collection de la Société des Explorateurs et Voyageurs français.
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Ceci est un livre " à sauts et à gambades ", un assemblage de tableaux et de croquis rapportés de ses promenades par un amoureux de Paris. Cet amour n'est pas aveugle : la tendresse, l'humour, la moquerie, la reconnaissance se retrouvent dans cette flânerie active d'un écrivain voyageur au coeur de sa ville préférée. On n'en a jamais fini avec Paris. Un lieu y répond à un autre, le présent le plus neuf y renvoie à quelque épisode du passé qui en élargit la compréhension. L'auteur poursuit ses escapades parisiennes avec une curiosité qui se nourrit constamment de ce qu'elle découvre. Il se poste à Saint-Eustache à la messe des charcutiers, il circule de nuit avec une équipe du Samu social, il visite un " espace de création ", il raconte Paris Plages, etc.
À pied, à vélo, à moto, il rit, s'énerve et s'émerveille. Le lecteur aussi.
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Au départ de leur aventure, il y avait un beau pari : faire le tour du monde à bicyclette, en un an. Jour pour jour, avec pour tout budget moins de 6 000 francs chacun ! 365 jours après, Alexandre et Sylvain sont revenus avec 31 pays et 25 000 kilomètres dans les mollets.
Ils ont traversé l'Afrique, le continent américain, l'Asie, les pays de l'Est et enfin l'Europe de l'Ouest, vivant chez l'habitant, au gré de leurs rencontres, et remerciant leurs hôtes avec le spectacle de jongleries et de flûtes mis au point pour l'occasion.
Improvisation et débrouillardise, anecdotes burlesques, petites et grosses contrariétés, mais aussi splendeur et poésie émaillent le récit de leur voyage. Au-delà de l'exploit sportif d'un tour du monde à bicyclette, les aventures surprenantes de deux étudiants français qui racontent, avec toute la fraîcheur de leurs vingt ans, ces 365 jours à la découverte du monde.