Lorsque Jacques, le grand-père d'Angie, 9 ans, meurt, toute la famille est bouleversée.
Et si l'on remplaçait papi par un robot à son image ?
Pour alléger le deuil, Garance, la mère, se tourne vers la société Illusion Robotic qui fabrique des humanoïdes ressemblant parfaitement aux disparus.
Les membres de la famille ne sont pas tous d'accord, et l'arrivée de ce substitut qui montre vite ses limites va perturber leurs vies. Heureusement, le fantôme de Jacques s'en mêle !
Une fable familiale et futuriste touchante qui invite à réfléchir aux sentiments et à l'attachement.
Les parents de Rose, 9 ans, ne cessent de se disputer. Rose se réfugie dès lors dans sa bulle... à bord de laquelle, elle entreprendra un voyage dans la Lune.
D'un côté, Delphine inonde sa maman de questions sur la vie, sur sa condition d'enfant et de future femme.
La mère écoute d'une oreille distraite et, parfois, explose. De l'autre, Karine, inséparable de Delphine, solitaire et mélancolique, émet de courts monologues mystérieux et étranges sur Jeanne, la Femme-Ouragan. Delphine et Karine ne font peut-être qu'une. La maman et l'ouragan sans doute aussi. Qui sait ? Cette fable simple évoque le malaise et les questions d'avant la puberté, mais aussi les parts d'ombre de la communauté familiale repliée sur elle-même.
C'est surtout un texte pudique sur la violence faite aux enfants, porté par un mystère et une écriture de la retenue très forts. Une belle étrangeté pour un théâtre épuré et âpre.
Pardon c'est l'histoire de Thérèse candide et candidate pour vivre l'existence passionnément, fermer les yeux sur les drames.
Il y a Battista qui l'initie à l'amour jusqu'à en avoir mal au dos, Jihante l'homme en bleu qui voudrait la contrôler et Albert qui tentera de la supprimer, de l'étrangler... Il y a aussi Moineau, Amandine, ses enfants fragiles presque insaisissables.
Tous ces personnages autour de Thérèse apparaissent comme les pièces d'un grand jeu dans lequel la jeune femme essaie d'avancer, prise entre vie et mort, célébrité et chute, plaisir physique, chirurgies esthétiques, concerts, drogues. Une vie qui apparaît rocambolesque et tragique où les malheurs côtoient l'insouciance. Une histoire onirique. Un hymne à la vie avec des dérisions.
30 ans après la chute du mur de Berlin le 9 novembre 1989, reste-t-il encore des murs à abattre ?
30 ans après la réunification des deux Allemagne le 3 octobre 1990, que reste-t-il de ces traces dans notre imaginaire collectif ?
Le projet de demander à quatre autrices d'écrire chacune un monologue à partir d'une même thématique, la femme dans l'espace public, s'inscrit dans cette double démarche, à la fois artistique et pédagogique. Il propose une déclinaison par 4 univers différents, 4 écritures, 4 visions, dans un format forcément court imposé par l'exercice, de développer une oeuvre à part entière, de la même manière que les compositeurs se sont moulés dans un cadre restrictif pour le faire éclater.
Ces monologues sont de véritables objets à spectacle tout autant que des objets d'études destinés aux conservatoires et diverses écoles d'art dramatique.
Il est une fois ! Moi, Aglaé ! Une petite fille âgée de six ans qui dit : « le monde est tout courbé il faut que je le redresse ». Une petite fille qui se révolte contre la directe-stricte et les oRgres et contre le monde qui ne tourne parfois pas très rond. Une petite fille qui veut réécrire les contes de fées, cogiter et tracer sa route prodigieuse. Voir les merveilles et les non-merveilles du monde. Aujourd'hui, c'est la rentrée des classes et Aglaé va décider de partir à la recherche d'une autre petite fille, Nojoud, qui a disparu. Le dahu est là, sûrement, il va lui donner un petit coup de pouce. Le dahu ? Bien sûr que si, il existe !