Parler de jardins et de parcs en seine-saint-denis n'est pas anachronique.
Le saviez-vous ? le département fait partie du réseau natura 2000, cela signifie qu'ici la nature a pleinement droit de cité. laissez-vous surprendre en passant un après-midi dans un des grands parcs départementaux, que d'idées préconçues mises à mal... ici tout est émotion : le paysage semble se renouveler en permanence, vous passez d'un lac à un marais pour vous perdre dans une prairie parsemée de coquelicots.
La photogénie des lieux est étonnante, que de belles lignes, que de beaux matériaux et si vous venez au mois de juin, ce sera peut-être la fête à moins que vous tombiez "nez à museau" avec un cheval de trait... dans les parcs, sur les berges de la seine ou des canaux, le long des chemins de randonnée, au coeur des jardins familiaux, la seine-saint-denis apparaît dans toute sa diversité et les jardins des villes, notamment celles qui sont labellisées "4 fleurs" démultiplient ce plaisir de la balade qui peut se faire à pied ou à vélo.
Laissez-vous tenter par cet autre regard sur la seine-saint-denis.
Cet ouvrage ambitieux et novateur publié en 1988 réunit des essais indépendants autour de quatre grands axes : Descola passe en revue l'histoire des concepts de causalité, Lenclud éclaircit la question maintes fois rebattue de « fonction », Severi s'affranchit des écrits antérieurs autour de la notion de structure en s'appuyant sur les travaux scientifiques de Goethe et, dans un essai sur l'histoire, Taylor se détache des idées classiques sur l'évolutionnisme et l'histoire culturelle. Audelà d'une histoire de la théorie de leur discipline, ces quatre anthropologues soulignent pour la première fois les liens entre l'ethnologie et l'histoire plus générale des idées en Occident.
ce livre, consacré aux baies et petits fruits, les considère sous leur seul aspect décoratif, au même titre que des fleurs ou des feuillages.
aussi allez-vous découvrir une diversité insoupçonnée de ces joyaux du jardin d'automne sélectionnés par dominique lenclud et beatrice pichon-clarisse. de formes et de coloris d'une grande variété, ils vont être pour vous une mine d'idées pour donner à votre jardin les couleurs qui lui manquent. selon les teintes adoptées, le décor change - raffiné avec des baies roses, il devient d'une gaieté éclatante avec des fruits rouges ou jaunes et quelque peu "dramatique" avec des fruits noirs.
pour vous aider dans vos choix, le livre est découpé en quatre chapitres correspondant chacun à des harmonies de couleur : du rouge au rose, du jaune à l'orangé, du bleu au violet et du blanc au noir. les baies dont il faut vraiment se méfier sont signalées, car ce qui est bon pour les oiseaux ne l'est pas toujours pour les humains ! enfin, vous trouverez des conseils pour savoir oú les planter et comment les soigner.
et aussi, oú les trouver !.
Au diable la fatalité du jardin triste en hiver ! offrez couleur et beauté personnalisée à votre jardin grâce aux reportages effectués par les auteurs auprès des meilleurs spécialistes.
Ils vous livrent une foule d'idées ainsi qu'un grand choix de variétés de plantes qui vont vous faire craquer.
En Corse dans les années 1970, une société villageoise s'accroche à la montagne.
Elle y maintient, avec le concours de la diaspora, un modèle d'existence en commun largement hérité de son passé proche mais dont les évolutions en cours sur le littoral semblent préparer à terme la disparition. Ce serait alors la fin d'une longue histoire sur laquelle cette société avait gravé sa signature, à défaut d'y exercer sa mainmise. La Corse est, en effet, l'abri d'une civilisation dont le creuset est villageois.
Les textes rassemblés dans ce volume dressent le portrait de certaines des institutions portant la marque de cette civilisation et en reconstituent les valeurs. Un idéal en organise le jeu ; il est cultivé dans chaque vallée, dans chaque communauté de village, dans chaque maisonnée : l'idéal de souveraineté. La Corse d'hier était un archipel dont chaque île, façonnée à l'identique sur le principe du quant-à-soi, proclamait avec force le refus de la vassalité.
L'idée d'État était donc étrangère à cette société en mosaïque, mais tout autant celle d'une cause commune, quand bien même s'agissait-il de s'opposer aux institutions de l'État.
Ce livre ne propose pas un état des lieux de l'anthropologie mais un ensemble de réflexions portant sur son projet de savoir, et sur son mode de connaître. Il le fait à partir de questions qui ont souvent une longue histoire derrière elles, mais susceptibles d'être aujourd'hui posées à nouveaux frais : celle des rapports entre anthropologie et histoire ; celle des liens entre connaissance et observation directe ; celle, épineuse, de l'interprétation, à partir de l'opposition consacrée entre comprendre et expliquer.
La particularité de l'ouvrage de Gérard Lenclud est de rassembler et de mettre en perspective des points de vue et des raisonnements puisés à diverses sources : l'anthropologie, bien sûr, puisque c'est d'elle qu'il est parti, l'histoire à coup sûr, y compris l'histoire des sciences, mais aussi la philosophie, philosophie de l'histoire et des sciences sociales, épistémologie descriptive, philosophie d'inspiration analytique, sciences cognitives.
Ce qui lui permet de mettre le doigt sur des enjeux disciplinaires fondamentaux : à l'heure où certaines disciplines tendent à célébrer leur spécificité, la proximité de leurs projets de savoir ne doit-elle pas être davantage mise en valeur que leur différence de méthode ? Mais aussi des enjeux " politiques " au sens large : si le relativisme culturel connaît, dans le grand public, un regain de faveur, comment se garder d'un relativisme de la vérité et de la raison ?
Si le département de la Marne est d'abord connu pour ses vignobles et ses prestigieuses Maisons de Champagne, ce territoire se découvre aussi au travers de ses jardins publics ou privés, de ses villes et villages qui rivalisent d'efforts pour fleurir les rues ou aménager des parcs en centre-ville.
Ici, la balade est forcément fleurie... Venez découvrir la côte champenoise avec ses villages détenteurs du label "4 fleurs" où le fleurissement est tellement ancré dans les traditions que toutes les habitations se parent de couleurs chatoyantes. Poursuivez votre route en traversant la plaine. Ici chaque village apparaît comme une véritable oasis de verdure. L'attention portée au végétal devient l'identité même du village...
Il ne faut pas passer à côté des villes plus importantes du département, elles rivalisent de créativité pour aménager leurs parcs et jardins souvent situés au coeur de la cité. Tout au long de ces balades fleuries, vous découvrirez aussi une grande diversité de jardins privés qui s'ouvrent au public, vous rencontrerez des amateurs tellement passionnés et passionnant que chaque visite restera un moment inoubliable.
Une cure de ressourcement idéale pour découvrir la méthode champenoise du bien-être...
Si pour beaucoup, la Vendée s'identifie à la mer et au bocage, « paysages et jardins de Vendée » permet de découvrir une richesse paysagère parfois méconnue. La Vendée est une terre de diversité et la parcourir expose à de multiples rencontres et surprises, alors soyez curieux.
Nous vous proposons une balade qui part du marais breton, passe par le littoral, le marais poitevin pour ensuite s'engager dans les terres, celles de la plaine puis du haut et bas bocage. La balade passe de jardins en. jardins. Ils peuvent être publics : jardins de ville ou d'association, propriétés départementales mais aussi ronds-points qui nous racontent un paysage rêvé ; ils peuvent appartenir à des propriétaires privés, et s'ouvrent à la visite. Ces petits joyaux, plus ou moins secrets, se dévoilent et vous attendent. Du jardin du Bâtiment, créé par le célèbre chef d'orchestre William Christie au jardin de plus petite taille dans un quartier pavillonnaire, la sensibilité du propriétaire-jardinier fait de la visite un moment de douceur et d'enchantement toujours renouvelé.
Entre plaine de la beauce et bocage du gâtinais, rives de loire et forêt d'orléans, le loiret dévoile tout au long de son territoire, une grande diversité de paysages.
Laissez-vous guider dans les différents arboretums du département, véritables espaces de collection ; découvrez les jardins privés qui sont autant de lieux magiques réalisés avec une grande sensibilité ; faites le détour par les villes et villages labellisés "4 fleurs" qui accueillent les visiteurs avec un fleurissement d'exception. la balade serait incomplète si vous ne vous arrêtez pas dans les jardins publics d'orléans : celui de la source est d'un ravissement constamment renouvelé, le jardin des plantes associe astucieusement patrimoine architectural et parcelles à l'aménagement contemporain.
Le loiret, c'est aussi la nature sous toutes ses formes : la loire, site inscrit au patrimoine mondial de l'unesco, la superbe forêt d'orléans et la sologne qui se dévoile au domaine du ciran. autant de lieux et de rencontres inoubliables. sans aucun doute, la lecture de jardins publics et jardins privés du loiret vous invitera à faire du loiret, la destination de votre prochaine balade au jardin.
"paysages et jardins des landes" invite à la découverte du patrimoine végétal du département des landes.
au fil des pages, le lecteur suit une route du paysage qui va lui permettre de découvrir les nombreux espaces naturels du département, les parcs et jardins des communes labelisées "villes et villages fleuris", mais aussi des jardins privés, plus secrets. la balade débute par le littoral de la dune paysagée de biscarrosse à l'urbanisme végétal de soorts-hossegor. en cheminant le long de la côte atlantique, on découvre de multiples sites remarquables comme la superbe "promenade fleurie" de mimizan.
pénétrons maintenant dans la haute lande. ici, le paysage passe au vert et au mauve des bruyères. on s'arrête à l'écomusée de marquèze où la vie d'autrefois renaît sous nos yeux, pour notre plus grand plaisir. puis cap au sud, en passant par dax pour atteindre la chalosse et ses collines vallonnées ; ici, tous les villages rivalisent d'imagination pour se mettre en valeur. avant de rejoindre le sud-est du département et les vignes de l'armagnac, on s'arrête à mont-de-marsan et dans quelques jardins privés dont celui de michel guérard, le célèbre restaurateur d'eugénie-les-bains.