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Tout comprendre : Aliénor d'Aquitaine
Elie Durel
- La Geste
- Tout Comprendre
- 25 Février 2016
- 9782367464138
Grâce à cette synthèse illustrée de 56 pages, vous saurez tout de la vie d'Aliénor d'Aquitaine.
De son enfance à Poitiers, à la cour de son grand-père le duc d'Aquitaine Guillaume IX, à son mariage avec le futur roi de France Louis VII, et son arrivée au rang de reine à seulement 13 ans, Alienor d'Aquitaine aura une vie remarquable sous bien des aspects, et d'une étonnante modernité : elle convaincra ses vassaux de partir en croisade, divorcera et se remariera avec Henri, duc de Normandie et d'Anjou. Elle participera avec son époux à la grande révolte contre son père le roi d'Angleterre, et sera retenue captive au château de Chinon.
De nombreuses légendes entourent également la vie de cette souveraine : dans ce guide essentiel, Élie Durel vous fera découvrir l'histoire de cette reine qui a marqué l'histoire par son parcours plein de richesse.
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Classée au patrimoine mondiale de l'Unesco en 1979, la grotte de Lascaux est un emblème du patrimoine historique des terres Périgourdines, reconnue dans le monde entier. Depuis sa première exploration en 1940, ces fresques n'ont cessé d'éveiller l'imagination et la curiosité des visiteurs.
Découvrez avec cet ouvrage tous les mystères de cette grotte depuis sa découverte jusqu'à nos jours.
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Marchand, négociant, banquier et armateur, Jacques Coeur est né à Bourges en 1400. Il a été le premier Français à établir et entretenir des relations commerciales suivies avec les pays du Levant. Sa fortune et son talent lui valurent d'être nommé par Charles VII maître des monnaies, puis grand argentier, et d'entrer au Conseil du roi, qui l'a anobli en 1440. Jacques Coeur a contribué au redressement de la France et de la monarchie après l'éviction des Anglais du pays. Mais sa puissance, sa richesse et son orgueil ont suscité des jalousies à la Cour. Lorsqu'il a perdu la protection de la belle Agnès Sorel, la maîtresse du roi, il a été accusé de l'avoir empoisonnée et de crime de lèse-majesté pour les liens qu'il a entretenus avec le dauphin Louis, alors en disgrâce auprès de son père. Il fut jugé et ses malversations, qui n'avaient rien d'inhabituel, furent étalées au grand jour. Après trois ans de forteresse, il s'évada et trouva refuge auprès du pape. Il est mort sur l'île de Chio en 1456, lors d'une croisade contre les Turcs lancée par le pape Calixte III. Il sera justement réhabilité par Louis XI.
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En 1859, l'impératrice Eugénie, l'épouse de Napoléon III, effectua une excursion vers le sommet de la Rhune qui offre un magnifique panorama à 360° sur la région. Cette initiative suscita un véritable engouement. L'essor touristique qui en a résulté a largement favorisé la création du Petit train quelques décennies plus tard. En effet, tout le monde n'avait pas la volonté ou la condition physique pour réaliser à pied l'ascension de la montagne mythique du Pays basque dont le sommet culmine à 900 mètres. C'est en 1908 qu'est née l'idée de construire un chemin de fer à crémaillère reliant le col de Saint-Ignace au sommet de la Rhune. Alors que la Grande Guerre se déclarait, la construction de la voie ferrée qui n'était pas terminée fut suspendue. Elle ne fut reprise qu'après l'armistice. L'inauguration du Petit train de la Rhune eut lieu en 1924. Depuis sa mise en service, rien n'a changé dans son aspect comme dans son fonctionnement. La superstructure des voitures est refaite périodiquement dans les mêmes essences d'arbres qu'à l'origine et les mécanismes sont régulièrement révisés. Quant aux locomotives, ce sont toujours les « Brown Boveri » d'origine suisse. La montée se fait 35 minutes environ et à une vitesse moyenne de 8 km/h, ce qui laisse le temps d'admirer le paysage, mais aussi la flore et la faune de la Rhune, en particulier les pottoka, les emblématiques petits chevaux semi-sauvages du Pays basque. On peut descendre à bord du Petit train ou, pour les plus courageux, emprunter à pied l'un des sentiers balisés de la montagne.
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Léonard de Vinci a soixante-quatre ans lorsqu'il répond à l'invitation de François Ier, alors au sommet de sa puissance. Le roi de France installe le génial vieillard au manoir du Cloux (aujourd'hui le Clos-Lucé) à Amboise et lui donne le titre de « Premier peintre, ingénieur et architecte du roi». Durant les deux années et demie qu'il lui reste à vivre, l'auteur de La Joconde est toujours aussi prolifique, il organise des fêtes à la gloire de son ami le roi et conçoit des projets grandioses : une nouvelle capitale royale à Romorantin en Sologne et le château de Chambord, une oeuvre d'art unique au monde. Le palais royal et la ville nouvelle de Romorantin sont restés à l'état d'études sur le papier et Léonard de Vinci ne verra pas la construction de Chambord, dont certains aspects laissent à penser qu'il est bien l'auteur des plans, au moins partiellement. Au Clos-Lucé, l'univers de Léonard a été fidèlement reconstitué. On peut y découvrir le peintre, le sculpteur, l'architecte, l'inventeur futuriste, l'ingénieur militaire, le mathématicien, le géologue, l'anatomiste, le botaniste qu'était cet extraordinaire génie universel que des chercheurs tentent de mieux comprendre.
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Héloïse et Abélard ; la gloire, l'amour et la spiritualité
Elie Durel
- La Geste
- 4 Septembre 2015
- 9782367463742
Au XIIe siècle, Pierre Abélard, célèbre philosophe, tombe éperdument amoureux d'Héloïse. Noble et cultivée, la jeune femme le détourne de sa chasteté, ils vivent ensemble une passion hors du commun. Héloïse tombe enceinte et le jeune couple se marie secrètement. Le scandale de leur relation éclate au grand jour et Abélard subit une grave mutilation pour avoir trahi l'église. Héloïse devient abbesse du couvent du monastère le Paraclet, Abélard se retire dans l'abbaye Saint-Denis. Éloignés de leur amour, ils se consacreront à la foi et à la philosophie. Élie Durel nous offre ici l'histoire de ce couple, témoin de la révolution des moeurs qui s'est produite en France au XIIe siècle.
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Femme hors du commun, Marga d'Andurain a défrayé la chronique dans l'entre-deux-guerres, pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Elle s'est vu attribuer de nombreux surnoms, tels que :« l'aventurière basque », « la reine de Palmyre », « la Mata Hari du désert », « la comtesse aux vingt crimes », « la maîtresse de Lawrence d'Arabie », « l'amazone du désert », «l'empoisonneuse » ... Si certains sont inappropriés, ils sont néanmoins à l'image de sa personnalité excessive en tout. Dans son livre Le Mari passeport publié en 194 7, Marga se désespère de ne pas être comprise pour ce qu'elle est. De fait, personne n'a cerné quelle était sa particularité rare qui a conduit à la faire exorciser à l'âge de huit ans, à vouloir l'interner plus tard et, aujourd'hui encore, à la considérer comme une psychopathe. En réalité, son surdon explique ses actes et son incroyable destin. Sa vie riche et tumultueuse s'est terminée par une mort violente. En 1948, à cinquante-cinq ans, elle a été assassinée à bord de son yacht dans la baie de Tanger.
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Corsaire par amour, chef de guerre par vengeance, Jeanne est entrée dans l?Histoire sous les surnoms de « Tigresse Bretonne » ou de « Lionne Sanglante ».
Nous sommes en 1343, durant une trêve de la guerre de Cent Ans et de la guerre de Succession de Bretagne.
Une femme montre à ses enfants un atroce spectacle : la tête coupée de leur père exposée sur les remparts de Nantes. De ce jour, fermant son c?ur à toute pitié, Jeanne de Belleville n?aura qu?une seule idée : la vengeance. Venger un mari qu?elle a follement aimé, venger un seigneur de Bretagne mis à mort traîtreusement sur ordre du roi de France.
Pour le roi de France, ce jour-là, Jeanne de Belleville est « la plus belle femme de France et de Bretagne » qu?il a courtisée sans succès.
Le roi n?imagine pas alors que, par amour meurtri, la veuve éplorée se fera chef de guerre, ravageant bourgs et villages. Il n?imagine pas que, par vengeance sauvage, Jeanne de Belleville se fera corsaire, armant et commandant trois équipages pour livrer une impitoyable guerre de course. Habillée en homme, portant l?armure un siècle avant Jeanne d?Arc, Jeanne de Belleville rallie à sa bannière l?host de la noblesse bretonne pour combattre le roi de France.
Rien ne l?arrêtera, pas même le naufrage : six jours durant, en compagnie de ses enfants, elle dérivera en pleine tempête sur une coque de noix? et, plutôt qu?il soit enseveli en terre française, livrera aux flots le cadavre de son plus jeune fils.
Avec la passion de l?écrivain et la minutie de l?historien, Elie Durel redonne vie à la Tigresse bretonne et nous fait partager la surprenante existence, si mouvementée, d?une femme exceptionnelle, femme corsaire par amour, d?une femme chef de guerre au XIVe siècle.
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En 1964, dans un aven du piton de Montségur en Ariège, des spéléologues ont découvert deux squelettes allongés côte à côte et ensevelis sous des pierres. Il s?agit des restes d?un homme et d?une femme d?une quarantaine d?années tués l?un et l?autre d?un carreau d?arbalète. Tout laisse à penser qu?il s?agit de défenseurs du dernier refuge de la haute hiérarchie cathare. L?auteur leur a prêté une identité et une existence qui permet de revivre par eux la brillante civilisation cathare et le véritable holocauste qui tourmente aujourd?hui encore les consciences.
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Louis XIV a enterré la réputation du plus grand corsaire français? il est temps de la faire renaître.Jacques Cassard fut sans doute l'homme le plus emblématique de la marine de guerre française, mais aussi un corsaire fort redouté des ennemis de Louis XIV.
Il fait ses premières armes de marin vers douze ans. À quatorze ans, orphelin de père, il devient subrécargue (gestionnaire de cargaison) sur un navire marchand et obtient son brevet de capitaine à vingt ans seulement.
La guerre et son ressentiment personnel à l?égard des Anglais et des Hollandais l?amènent vers l?activité de corsaire qui lui permet de se fait remarquer par sa bravoure et ses talents de man?uvrier.
Le comte de Pointis, officier de la Marine royale, l?enrôle pour son expédition vers la Carthagène des Indes, en Amérique où il s?illustre lors de la prise de cette opulente ville espagnole.
Désormais au service de la France, il porte secours à des convois de bleds (céréales) menacés par la flotte anglaise en Méditerranée, alors que les Provençaux sont menacés de famine. Pourtant, il n?est pas dédommagé de ses escortes et les procès qu?il engage restent vains.
Corsaire du Roi-Soleil, puis officier de la Marine royale, mieux qu?un Duguay-Trouin ou qu?un Jean Bart, Jacques Cassard porte les coups les plus rudes aux puissances maritimes en guerre contre la France.
La Croix de l?Ordre royal et militaire de Saint-Louis lui est attribuée, mais il ne la reçoit qu?après la mort de Louis XIV, et sans pension, ce qui est pour lui un nouveau motif d?amertume.
Victime de ses déboires financiers et de son mauvais caractère, mais aussi de la raison d?État et de sa brouille avec le Roi Soleil, il finira sa vie dans l?oubli total, à la forteresse d?Ham, dans la Somme.
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Ce récit biographique illustré relate des faits tragiques, parfois surprenants mais bien authentiques.
Albert était un homme ordinaire que ses modestes origines paysannes ne prédisposaient pas à prendre des initiatives et des responsabilités importantes pour s'opposer aux forces d'occupation allemandes, lors de la Seconde Guerre Mondiale. Son sens aigu du devoir et de l'honneur, mais aussi son histoire personnelle l'ont amené à se transcender. Résistant de la première heure, Albert mena des actions plutôt solitaires et parfois dérisoires, pour ne pas dire cocasses, contre l'occupant. Puis, avec un jeune compagnon, il créa le Maquis de Scévolles, au nord du département de la Vienne. Ce maquis qui relevait directement du général de Gaulle sera le plus important de la région. Il se développa dans l'Indre-et-Loire, le Maine-et- Loire et acheva sa carrière dans la Loire-Inférieure, en partici- pant à l'investissement de la poche allemande de Saint-Nazaire. -
Née en 1477 à Nantes, Anne de Bretagne est très célèbre par son destin unique dans l'histoire de France. Belle, talentueuse et instruite, elle a été une femme au caractère affirmé qui a toujours su maintenir autour d'elle la gravité et la modestie nécessaires à un pouvoir ferme, mais juste. Si sa postérité est souvent magnifiée, par son parcours et sa personnalité elle laisse d'elle l'image d'une duchesse proche de son peuple et soucieuse de conserver l'indépendance du duché de Bretagne vis-à-vis du royaume de France. Cette indépendance affirmée solennellement par tous les ducs bretons en montant sur le trône ducal, elle l'a défendue jusqu'à sa mort. Pourtant, elle a été deux fois reine de France, à 15 ans puis à 22 ans, justement pour sceller par un mariage, avec Charles VIII puis Louis XII, l'union du duché de Bretagne à la France. À seulement 37 ans, elle s'est éteinte au château de Blois puis a été inhumée à la basilique Saint-Denis près de Paris. Son coeur, placé dans un reliquaire, a été transféré à Nantes, selon sa volonté.
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Le mystere gilles de rais - compagnon d'armes de jeanne d'arc
Elie Durel
- Petit Pave
- 19 Juin 2020
- 9782847126556
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L'autre fin des Romanov et le prince de l'ombre
Elie Durel
- Fernand Lanore
- 1 Avril 2009
- 9782851575678
L'auteur a recueilli des informations inattendues provenant de personnes qui ont directement ou indirectement connu le prince et le juge réfugiés en France après avoir fui la Russie sibérienne. L'une d'elles lui a fait des confidences tellement surprenantes qu'il a voulu en vérifier la vraisemblance. Il a mené sa propre enquête et procédé à une analyse précise de cette histoire aussi extraordinaire que complexe. Au terme de ses investigations, il ne peut que confirmer l'intime conviction de son informateur privilégié : la Famille Impériale n'a pas été massacrée dans la maison Ipatiev et l'une des Grandes-Duchesses aurait bien survécu, mais il ne s'agit pas d'Anastasia.